Éclipse de lune dans la nuit du 27 au 28 sept 2015
Dans la nuit du 27 au 28 sept 2015 la Lune passera dans l’ombre de la Terre. Ce phénomène sera particulièrement bien visible depuis l’Europe le 28 de 3h07 à 6h27 du matin heure française.
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Dans la nuit du 27 au 28 sept 2015 la Lune passera dans l’ombre de la Terre. Ce phénomène sera particulièrement bien visible depuis l’Europe le 28 de 3h07 à 6h27 du matin heure française.
Dans la nuit du 30 juin au 1er juillet 2015, une seconde a été rajoutée au temps universel coordonné. Les horloges atomiques qui le déterminent ont affiché exceptionnellement 23 h 59 min 60 s. Pour comprendre pourquoi, visite sonore à l’observatoire de Besançon, en compagnie de François Vernotte.
Aujourd’hui, le grand relevé numérique du ciel Sloan (SDSSIII) rend publique son douzième et dernier catalogue DR12. Il contient plus de 100 Terabytes de données, notamment les mesures des propriétés de presque un demi-milliard d’étoiles et galaxies, ce qui en fait une des bases de données les plus grandes et les plus riches dans l’histoire de l’astronomie.
L’observation de la comète Hale-Bopp a conduit à la découverte en 1997 d’une nouvelle queue reliée à l’émission de la raie D du sodium neutre. Ce résultat a priori surprenant pourrait s’expliquer par un scénario purement chimique :le sodium, initialement piégé sous forme d’ions serait transféré dans la glace à la suite du lessivage des roches ; il se transformerait progressivement en atome neutre lors de l’érosion de la couche de glace par sublimation à l’approche du soleil. Ce résultat, obtenu par une équipe pluridisciplinaire incluant des chercheurs de l’Institut UTINAM (OSU-THETA, CNRS/UFC), est publié dans la revue "The Astrophysical Journal Letters".
En faisant l’hypothèse que la comète Chury a été formée par agglomération de glace sous forme de clathrates, des chercheurs Français, dont un membre de l’Institut UTINAM, et Suisses impliqués dans la présente étude ont montré que ces structures de glace très particulières pouvaient avoir piégé sélectivement CO par rapport à N2
Ayant analysé les sédiments du lac Igaliku (sud-ouest du Groenland), des chercheurs du laboratoire Chrono-environnement (Université de Franche-Comté / CNRS) et de l’Institut des sciences de la Terre d’Orléans (ISTO, Université d’Orléans / CNRS / BRGM) ont pu mettre en évidence l’existence de deux périodes d’élevage intensif d’herbivores dans cette région : la civilisation Vikings au Moyen-Âge et à partir des années 1920, quand les danois ont mis en place un élevage majoritairement constitué d’ovins.
En calculant la vitesse de la réaction d’échange entre l’atome d’oxygène et la molécule de dioxygène, des physiciens, dont des chercheurs au LICB, viennent de montrer que suite à un effet quantique d’indiscernabilité, cette réaction est 10 fois plus rapide lorsque les 3 atomes sont identiques que lorsqu’un des atomes est un isotope rare de l’oxygène. Ce qui signifie que l’ozone excité, qui est un intermédiaire de cette réaction, sera plus facilement stabilisé si un isotope rare est présent.
Le groupe des poissons osseux, avec un squelette ossifié, comprend aujourd’hui plus de 30 000 espèces. Mais il y a 300 millions d’années, les océans étaient dominés par les poissons avec un squelette cartilagineux. dont il ne reste aujourd’hui que 1100 espèces ; pourquoi et quand ont-ils décliné au profit de leurs cousins osseux ? Une grande étude menée par une équipe internationale comprenant le laboratoire Biogéosciences vient d’apporter une réponse précise à cette question.
En appliquant un modèle basé sur l’approche théorique dite PDI (Point Dipole Interaction) à des particules de suie simulées sur ordinateur, une équipe de chercheurs bisontins vient de montrer que les caractéristiques atomiques de ces particules de suie peuvent avoir une grande influence sur leurs propriétés d’absorption du rayonnement.
Les physiciens connaissent bien les lois qui unissent et régissent deux corps (deux planètes, deux étoiles, ou une étoile et une planète…). Mais que se passe-t-il quand un troisième corps – disons une comète – entre dans la danse ? Va-t-elle rester coincée entre les deux premiers ou être renvoyée d’où elle vient ? Pendant sa thèse à l’Institut UTINAM, Guillaume Rollin étudie de tels systèmes.